Notre adhérent, M. L. a acheté en LOA un véhicule Peugeot au garage de Cesson Sévigné en septembre 2020. L’achat est adossé à un crédit accordé par l’organisme de l’enseigne : CREDIPAR. En principe, tout est prévu. Mais dès le premier prélèvement, la machine se grippe. Et les problèmes s’enchaînent.
M.L. constate que 60 € ont été prélevés tous les mois en plus de l’échéance prévue. En janvier 2021, il adresse une lettre recommandée avec avis de réception pour demander la correction de l’erreur. Les SMS et courriels de CREDIPAR s’enchaînent et notre adhérent reçoit même, 5 jours plus tard, une menace d’inscription au fichier FICP (Fichier des Incidents de remboursements aux particuliers) pour non-paiement.
Après de nombreux échanges, la société de crédit explique à son client en avril 2021, qu’en fait, un nouveau dossier a été ouvert car le premier « ne correspondait pas aux conditions de remboursement entendues avec le point de vente ». La validation de ce deuxième dossier aurait eu lieu en janvier 2021 dans « leur système d’information » et CREDIPAR reconnaît qu’un courrier standard « pas adapté à (la) situation » a été adressé à son client. Il semble que M.L. n’en ait pas été averti !
Un geste commercial d’une demi-mensualité est accordé en compensation des désagréments causés (accompagné, quand même, d’excuses !). Mais que de courriers, courriels, SMS et appels téléphoniques inutiles, représentant une perte de temps et créant une légitime irritation chez notre adhérent ! Un problème lié sûrement à un traitement automatique et non personnalisé malgré les demandes et aussi un manque de communication et de considération envers la clientèle.
